Victoria HOMEL

par Victoria HOMEL Mer 28 Oct - 14:21

Nom : HOMEL
Prénom : Victoria
Age : 21ans
Sexe : Féminin
Origine : Lordaeron.
Race : Humaine (partage le sang des worgens)
Classe : Sniper/rodeuse.
Statut civil : Célibataire.

Histoire :

De très bonne famille, seule fille et petite dernière d'une fratrie de quatre.
Elle perd tous ses repères quand le fléau ravage Lordaeron. Alors que la famille est évacuée par bateau, elle est séparée de ses trois frères.
Seul, elle marche pendant des jours, se nourrissant de baie et fini par rejoindre une colonne de réfugier qui fuient vers le sud. Elle n'a alors que 6ans.

Dans une situation de sécurité précaire à Austrivage, elle découvre une nouvelle vie, loin de ses habitudes de nanties. Mais peu de temps après, les morts vivants devenue réprouvé revendique les royaumes tombés sous leurs coups alors qu'ils étaient asservi.
Bien que jeune elle fuie à nouveau la civilisation pour retourner en territoire hostile et est recueilli par un groupe de résistant.
D'anciens gardes et forestier ayant soif de vengeance et de reconquête. Elle baignera dans la troupe pendant une dizaine d'année. Apprenant à se battre, pister, chasser et faire mouche sur tout ennemi qui se présenterait.

Alors qu'elle a gagné sa place depuis longtemps de résistante au sein de ce petit groupe, les réprouvés envois le gros de leurs forces sur le mur de grise-tête. Et abattent les portes restées inviolées depuis leurs fondations.
La région devient encore plus dangereuse et peu de temps après, certains gilnéens propose leur sang afin de se prévenir de la mortvivantropie.

Victoria, succombe à la Lychantropie sans aucune hésitation sachant que cette perte d'humanité l'aiderait dans son combat.

La transformation reste douloureuse, et la change en une dangereuse worgen. Elle passera prêt de six mois à travailler son contrôle afin de rester maître d'elle même.

Mais le coup en valait la chandelle, elle est maintenant une bien meilleur tueuse qu'elle n'aurait jamais espéré, et elle décide de mener son combat sous la forme d'une guérilla en s'aventurant seul en terre Lordaeronaise.

Plus récemment elle à fait partie de l'armée officiel de l'alliance dans la IVeme légion. Elle quitte l'armée après que son bataillon soit presque entièrement exterminé en Draenor.

Description physique :

Jeune fille de taille moyenne au corps athlétique et au visage fin et apprécié par les hommes. La peau blanche presque laiteuse. De longs cheveux fin et châtain foncé de la même couleur que ses yeux en amandes, un joli sourire rarement visible.
Un visage tout juste sortant de l'adolescence, mais étrange dus fait de sa froideur apparente.

Sous sa forme animale, elle est légèrement courbée, d'une couleur grise avec un regard fauve perçant et brillant dans l'obscurité.

Description morale :
Froide. Elle déteste les morts vivants couplé à une volonté calculatrice d'en abattre un maximum.
En effet Victoria a perdu toute jeune tout ce qu'elle avait. Devant se débrouiller seul sous peine de mourir, elle rejoint très jeune de petits groupes de résistants, et des qu'elle fut en âge de soulever et de manier le fusil qu'on lui avait confié. Elle plongea ses ennemis sous un déluge de feu et d'acier.

Droite, volontaire, froide et déterminée.
Elle sait ce qu'elle veut et se sert de ce qu'elle à disposition pour atteindre ses objectifs.
Elle n'hésite pas à coucher à droite à gauche pour profiter de la vie car cette dernière est trop courte et dangereuse et puis les hommes ne savent pas dire non une fois la tête sur l'oreiller et ça arrange toujours ses affaires.
Elle à également perdu beaucoup de son éducation noble, c'est une soldat maintenant. Une forestière qui est plus dans son monde au milieu des arbres et dans sa tenue fonctionnelle que dans une tenue fait pour se montrer au milieu d'une réception.

Après des années à barouder dans le nord et à vivre comme une "sauvage" elle trouve futile les bonnes manières, ce qui compte c'est de faire ce qui doit être fait. Le faire de façon délicate avec des révérences... l'insupporte de plus en plus.
Elle aime l'odeur de la sueur, du sang et de la poudre. Bon, et celle de la tisane au coin du feu...

Objectifs dans la vie : Tuer du mort vivant, aider l'alliance, retrouver ses frères, devenir encore et toujours plus une meilleure tueuse.

[Maison Homel]

La famille Homel trouve ses origines aux balbutiements de l’humanité.
C’est dans le berceau de ce qui deviendra plus tard un empire puissant qu’elle débute son prestigieux destin.
Cette famille était un membre important d’une tribu de marin et de chasseur. Loin d’être belliqueux ou agressif, ce clan affirmait farouchement son territoire et profitait de son patrimoine maritime pour faire du commerce avec ses voisins.
Cette tribu avait régulièrement son lot de combat contre les pirates qui voulait s’approprier le fruit de leur labeur.
Mais le clan était soudé et jamais leur village à flanc de falaise ne fut mis en danger.
La tribu prospéra dans le temps jusqu’à annexer un certain nombre de ses voisins et avec une importance dans le domaine maritime elle rejoignit l’embryon d’empire humain qui se formait.

Sous une impulsion dont la raison a été érodée par le temps la famille migra pour aller s'installer sur les terres froides et rudes au nord.
La famille s’installa sur les bords de la mer septentrional et prospéra à nouveau de la même manière qu’elle l’avait toujours fait.
Le petit clan de pécheur avait bien changé en ce temps et en de nombreux points. Le clan Hom était devenu une très respectable famille d’armateur du nom de Homel. louant ses services aux premiers rois du jeune royaume de Lordaeron.
Du fait de leur indéniable puissance et de leurs valeurs vertueuses, la famille Homel reçu des terres et un titre. Bien que cela ne changea rien au fonctionnement de la dite famille cela les motivas tout de même à s’investir dans la création d’une flotte militaire afin de servir et protéger leurs terres et celles de leurs alliés.

Les guerres vont se succéder et le temps s’écouler inlassablement et avec le fléau la maison va voler en éclat et ses descendants se disperser aux quatre vents.

Devise de la maison : Toujours droit.
Armes de la maison : D’or à la fasce d’azur chargé de trois billettes d’argents.
Titre revendiquable : Marquisat d’Ano Ney en Lordaeron.
Héritier légitime : Robert HOMEL aîné de la fratrie.

[Statut de la descendance]

Robert HOMEL : Porté disparu en Pandarie.
Liam HOMEL : Porté disparu depuis la fuite de Lordaeron.
Harold HOMEL : Porté disparu depuis la fuite de Lordaeron.
Victoria HOMEL : Ancien membre de la 4ème légion de l’alliance, rare rescapé de son bataillon.

[HRP] Je tiens à préciser que ces informations n'ont pas fuité et de ce fait, personne n'est au courant dans les détails, sauf avis contraire de ma part. [/HRP]

[Histoire d’une enfant soldat]

Vitoria n’avait que 7ans quand elle fugua de Austrivage pour retourner dans les terres désolées de Lordaeron.

Elle prit très rapidement conscience qu’elle n’était pas capable de survivre seul, mais la chance était avec elle. En effet à peine quelques jours après son entré dans la forêt des pins argentés, elle fut récupérée par un groupe d’ancien éclaireurs. Une division composée d’hommes et de nains qui depuis la chute du royaume, mener la vie dur aux morts vivants.
Au début le groupe voulait simplement ramener la petite fille en territoire moins hostile, mais le caractère trempé à froid de la jeune fugueuse finie par les en dissuader. Elle devint une sorte de mascotte pour le groupe de forestier apportant du baume au cœur à ces hommes et femmes qui avaient tout perdu. Mais la vie était on ne peut plus dur, elle fut mise à contribution, pour monter les camps, allumer le feu, faire à manger, bander une blessure et chasser.

Grace à son apprentissage du monde sauvage, la peur permanente, l’excitation du combat et de la traque d’une proie. Vivante ou animée de la non-vie elle passa du statut d’aide de camps à celui de rôdeuse. On lui confia sa propre carabine qui au début était au moins aussi haute qu’elle. Son changement de régime fut un choc au début, car les rôdeurs avaient une discipline de fer et leur capitaine était intraitable. D’après lui, c’était cette discipline qui leurs permettait de rester en vie. Elle passa donc des années à suivre sans poser de questions les ordres qu’on lui donnait.
L’austérité de son cadre de vie fit d’elle une formidable traqueuse, elle s’était endurcie et s’était forgé un mental solide. Sa vue était étonnamment bonne, voir meilleur que la moyenne et rapidement ses camarades s’en remettais à son premier tir pour casser la chaine de commandement d’une colonne réprouvée pendant qu’eux s’occuper de décimer le reste des troupes désorientées.
Mais le destin est trompeur et alors qu’elle était en pleine adolescence les réprouvés usèrent de fourberie pour mettre fin à la guérilla des résistants. Une peste décima le groupe réduisant leur nombre à peau de chagrin.
C’était la première fois que Victoria avait vraiment peur. Une peur différente de celle de se faire prendre ou de mourir. Une peur intestine, qui vrille la tête ,empêche toute logique, celle qui incite à fuir le combat. Et malgré son endurcissement, rien ne pouvait refréner cette peur.
Celle de se changer en ce qu’elle détestait le plus au monde.

Le reste groupe se disloqua, certains voyant leurs objectifs comme irréalisables, d’autre se voyant trop vieux pour ça. Elle étant jeune continua sa maraude en solitaire. Mais la peur aux tripes.
Puis le mur de Grisetête tomba et une opportunité vint avec. En effet, les worgens insensibles à la peste réprouvée faisaient leur apparition. Et quand ils proposèrent leur sang elle accepta le don qu’on lui offrait.

La transformation fut douloureuse et son nouvel instinct animal la contraignit à fuir à nouveau la compagnie des autres afin d’apprendre à se canaliser. Mais cela en valait la peine. Grace à son nouveau corps de worgen, elle était plus forte, plus rapide, discrète comme une louve. Et ses sens étaient démultipliés, vision dans le noir, un odorat affiné, une ouïe affûtée et enfin, son arme ultime, une fatigue inexistante.
Elle était devenue un monstre et s’appliquer à apporter la mort méticuleusement chez les réprouvés.